Facts About Vêtements algériens Revealed
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Le karakou algérien se distingue par ses composants uniques et sophistiqués, reflétant un héritage culturel riche. Chaque élément du costume incarne une custom, alliant la beauté du goé à une élégance contemporaine.
Au début de la période ottomane, les robes bônoises ressemblent en toute probabilité à leurs contemporaines constantinoises, de même que les caftans de velours, les coiffes pointues et les bijoux. Toutefois, certaines broderies attestent un artwork vestimentaire propre à la ville[70]. Elles semblent perpétuer un model décoratif qui appartient à un répertoire méditerranéen commun[seventy one].
À partir de 1980, un nouveau modèle de karakou apparait, ce dernier, in addition classique et furthermore majestueux, redonnera au karakou sa coupe originelle cintrée mais en même temps évasée à partir de la taille avec de longues manches.
Ces trois combinaisons différaient selon la classe sociale, l’âge et website la saison, alors que le costume cérémonial était réalisée dans des étoffes moreover luxueuses, informe-t-elle encore, indiquant que la oneére description précise du costume algérois remonte à fin XVI siècle, à savoir la chemise good (Qmedja) et les chemises-tuniques, pièces majeures des citadines et caractérisées par leur sobriété, avant que l’arrivée des Andalous et des Morisques d’Espagne après la chute de Grenade n’introduise la broderie de l’encolure des tuniques de plastrons.
Au début du XIXe siècle, deux autres dérivées vont s'introduire dans le paysage vestimentaire féminin : la frimla et la ghlila dite djabadouli, semblable à la ghlila, mais munie de manches longues fixes, portée en hiver ou en mi-saison, alors que la frimla est un minuscule gilet porté en été[sixteen].
Le Karakou est une tenue très élégante et raffinée, qui convient parfaitement aux cérémonies de mariage et autres situations spéciales. De as well as, cette tenue est très confortable à porter, ce qui en fait un choix idéal pour les longues soirées festives.
Il est appelé Elfouta qui couvre le corps de la taille jusqu’aux jambes. Les femmes kabyle adorent l'argent et aiment même le mettre au quotidien. Chacune possède un bracelet, un collier, des boucles d'oreilles et une bague en argent qui sont associés à cette modeste robe kabyle. La robe kabyle (Thakandourth- nl -Kvayel ) porte beaucoup de noms selon la région dont elle fait partie, tel que Thakandourth Iwadayen qui se réfère à la région Wadiya à Tizi Ouzou. Pendant chaque mariage (cérémonie de henné), les femmes portent la robe kabyle et les hommes mettent le Barnous qui est fait à la major avec la laine des moutons. Dans certaines régions, les personnes âgées le portent encore tous les jours, surtout en hiver pour se réchauffer.
Afin d'arborer un style glamour et déagreementé alors vous pouvez porter une paire d'escarpins ou de talons, en revanche il vaut mieux oublier les baskets et les sandales.
Les costumes de Jijel et de Skikda, maintiennent leurs traditions vestimentaires citadines grâce à la proximité et à l'impact prépondérante de Constantine et s'apparentent aussi à celui d'Annaba[seventy six]. Dans les années 1960, certaines femmes de la région de Collo, portaient encore le caftan sous leur gandoura, ne laissant apparaître que les mancherons[56].
Typique à la Kabylie, Thakendurth est moveée, au fil des décennies, de la basic robe longue droite à celle d’use à ce jour, caractérisée par les couleurs vives et les broderies en zig-zag, et proceed à se porter avec les bijoux typiques des Ath-Yanni, poursuit Mr Khelfaoui, sachant qu’au Sud du pays, les bijoux en argent agrémentent également la tenue traditionnelle des femmes targuies (Tassaghenasset), celui des hommes étant le Bazam, en furthermore du chèche qui a valu à ces derniers le qualificatif d'”hommes bleus”.
Le karakou doit être ajusté de manière précise pour flatter la silhouette tout en garantissant le confort. Les tailles varient, et le karakou est souvent réalisé sur mesure pour s’adapter parfaitement au corps de chaque femme. Voici quelques details clés pour la taille et l’ajustement :
Je m’encourage de ces behaviors, et j’essaie de les projeter vers des trajectoires plus modernes, voire futuristes. »
II y a eu deux autres vestes : la ghlila et le karako, en velours brodé pour les cérémonies. La ghlila de Constantine avait de longues manches, contrairement à celle d'Alger qui n'en avait pas et s'apparente au djabadouli[56].
Cette robe se caractérise par sa coupe easy, faite dans des cotonnades imprimées de motifs fleuris polychromes. La fouta aide à le maintenir en put autour des hanches et des jambes[a hundred and one]. Elle possède un empiècement rectangulaire (lebtan), ses manches longues sont terminées soit par un poignet, soit par plusieurs galons plats de couleur[102].
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